Michèle, Je compatis à la peine et la douleur qui doivent être les tiennes après toutes ces années passées près de Gérard. Je te présente ainsi qu'à tes enfants mes plus sincères condoléances. J'ai attendu le dernier moment pour prendre ma décision et c'est avec regret que je n'assiste pas aux obsèques de Gérard mais mon état physique de ce jour comme de plus en plus souvent m'oblige à limiter les kilomètres (j'habite à Gennes) et les stations assise ou debout prolongées me sont pénibles. Je t'embrasse. Patrick