Anne Marie, Angèle, Edith, je prends part à votre peine qui suit l'épreuve que vous vivez depuis des semaines, et mardi soir; je vous ai croisées au Lac de Maine, l'an dernier Anne Marie, quand Hélène et toi faisiez une promenade ; je n'ai pas connu Hélène, sinon au travers de conversations avec Edith ; et l'évocation de la richesse des rencontres qu'elle a eues grâce à son accueil d 'étudiants sous son tout; Angèle, je ne t'ai pas rencontrée, sauf croisée enfant quand tu passais du temps avec Edith et Marine; j'imagine le chagrin que tu dois avoir , car Hélène a dû être très importante pour toi au côté de ta maman ; Edith, ta fidélité sans faille à ta famille et tes amis est un trésor pour ceux et celles qui en bénéficient, et ton accompagnement d'Hélène et Anne Marie le montre fortement.
Je pensais à vous depuis ces derniers jours, et vous souhaite de tenir bon .
Je vous embrasse .