Margrith ma femme, et moi-même, Jean Yves, cousin germain d'Yvette et dernier membre vivant de la parenté proche d'Yvette du coté de son père Henri Guyon, nous nous associons à la peine d'Yvette et de ses enfants et de leurs proches. Nos souvenirs sont toujours vifs d'un homme attachant et attentif, écoutant les autres avec humour et bienveillance, passionné de progrès et de technique. Nos chemins de vie n'étaient pas proches, mais il est toujours bon et réconfortant de savoir qu'une lignée, qu'une famille avec laquelle on partage une origine commune est bien là, vivant notre même condition humaine, nos valeurs comme nos bonheurs et nos peines. Nous souhaitons à Yvette et ses enfants la sérénité et la paix de l'âme dans le souvenir et l'espérance.